Comment un jeune pasteur romand dont Lénine écrivait à la suite de son refus de servir: « J'ai lu la plaidoirie d'Humbert-Droz. Mon Dieu, quel philistin du tolstoïsme ! » a-t-il pu être nommé secrétaire de l'Internationale communiste en 1921 sur la proposition du même Lénine ?

Le premier volume des « Mémoires de Jules

Humbert-Droz » répond à cette question, fréquemment posée à l'auteur.

Humbert-Droz y décrit le cheminement de sa pensée et la formation de son caractère en partant du milieu social et familial dans lequel il passa son enfance. Il ne cessa de chercher sa vérité à travers ses études de théologie, à Neuchâtel, Paris et Berlin, à travers ses expériences dans la société d'étudiants de Zofingue chez les socialistes chrétiens

Exemplaire dédicacé par l'auteur à son camarade Jules Moch, l'ancien ministre d'intérieur français